• Pleine lune

    Pleine lune

    De Vanessa Giffaut

    Editions L'ivre-book

    Collection Dreamwave

    Format numérique

    267 pages

    Sortie le 21 octobre 2017

     

    Résumé :

     

    Louise, comme toutes les jeunes filles de son âge, pensait passer un été tranquille : se faire un peu d’argent de poche et renouer avec ses grands-parents maternels. Ce qu’elle n’avait pas prévu, c’était de faire une rencontre surprenante et comprendre que la petite commune de Champ-du-Boult cachait d’improbables secrets.

     

     

    L'avis de Fred :

    Je remercie les éditions L’ivre-Book pour ce service presse.

    Si j’ai choisi ce roman en sp, c’est que la couverture et le titre me plaisait bien à la base. Puis quand j’ai lu le sujet, cela restait tellement vague, cela semblait tellement mystérieux, que je me suis laissé convaincre par cette lecture qui pour moi tournerai, au vu du mot lune dans le titre, autour des loups garous (sujet que j’apprécie beaucoup en passant).

    Nous suivons donc les aventures de Louise. Cette jeune femme courageuse et têtue va passer les vacances d’été chez ses grands-parents dans la petite commune de Champ-du-Boult. Si ce petit village paraît innocent en apparence, il n’en est rien en réalité, car un danger rode dans l’ombre, un danger qui peut s’avérer mortel.

    Louise va très vite faire la connaissance de Lucas. Ce personnage masculin va souffler le chaud et le froid sans arrêt envers notre héroïne, il sera très lunatique. Vous l’aurez donc compris, tout comme moi pendant ma lecture, il n’est pas un gentil humain lambda qui passe son chemin. Je trouve dommage qu’on découvre sa vraie nature aussi vite dans cette histoire (je l’ai deviné dès le début). C’est d’ailleurs l’un des points négatifs de ce roman, nous devinons tout très vite et de ce fait il n’y a pas de réel rebondissement.

    Nos protagonistes vont s’unir et faire front pour éradiquer une bonne fois pour toute la menace qui plane au-dessus de la tête de Louise. Car en effet, même si notre héroïne est d’une nature spéciale, la menace à portée son choix sur elle et à bien décidée d’en faire sa proie. La chasse est donc ouverte !!!!

    J’ai beaucoup aimé l’histoire de ce roman. L’univers qu’à crée l’auteur et très appréciable, cependant, je reste sur ma faim sur l’aspect mystérieux qu’il y aurait pu avoir dans un tel roman, car autant le synopsis l’était énormément, autant il n’y en a aucun à la lecture de ce tome.

     

    Je finis donc avec un ressenti mitigé, j’ai aimé d’un certain côté mais moins d’un autre. C’est le genre de roman où l’où doit se faire seul sa propre opinion, donc à vos lectures, j’ai hâte de savoir ce que vous, vous en avez pensez.

     

     

     

     

     


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  • Hashtag, Tome 1 : #Nerd


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  • A Girl utopia

    Auteur : Oderu Chan

    Editeur : Editions Librinova

    Format numérique

    340 pages

    Sortie : 5 octobre 2017

     

    Résumé :

    Ère du Renouveau. Un monde où les femmes gouvernent en toute liberté. Un monde où les hommes ont perdu leur statut et n'ont plus aucun droit. Devenus des "Masculins", on leur implante, dès leur naissance, des "dominationems" qui contrôlent leurs faits et gestes... Privés de liberté, ils n'ont qu'un rôle : servir leur Maîtresse. La "Cueillette" Je dois choisir mon Masculin et lui attribuer un "mode". Numéro 400 Enfermé dans une cellule à part, il est différent des autres. Il a vécu hors du Centre. Il a connu le monde de Jadis. Son dominationem a été modifié. Par qui ? Pourquoi ? Ma rencontre avec lui fera tout basculer. Je croyais vivre dans un monde "parfait" et pourtant, la vérité m'a été cachée. A présent, je vais devoir transgresser les règles pour sauver ma peau et celle de mon Masculin.

     

    Avis de Mely :

    Un grand merci à NetGalley pour ce service-presse.

    J’ai été intriguée par le résumé et ce que le contenu pouvait me réserver. Personnellement, je n’ai jamais lu de livres sur les femmes au pouvoir dans une dystopie, donc je voulais voir ce que ça donnait.

    J’ai apprécié le premier chapitre qui explique par quelques flashs comment tout s’est installé. Nous n’avons pas de gros blocs pour la leçon d’histoire, mais quelques fragments importants d’Anne Syénite qui nous montrent comment cela s’est développé pour devenir la société dans laquelle vit Erine et les femmes.

    J’ai trouvé le début un peu long, mais après quelques chapitres, le monde de l’auteur se met en place et j’ai été fascinée par ce qui s’en dégageait. Ce monde futuriste où les femmes gouvernent les hommes et les contrôlent par le biais de puces est vraiment très intéressant. Ils sont devenus des esclaves, des pantins entre les mains de la gent féminine. Cela est normal pour cette société, mais l’est-ce vraiment ?

    J’ai trouvé les personnages cohérents à ce monde dystopique, surtout les adolescentes qui sont pour la plupart capricieuses, vaniteuses, mais l’héroïne a su se démarquer facilement de ses compagnes de la « Cueillette. » Elle est le côté face de ces personnages représentatifs de cette communauté. Son éducation la diffère des autres et l’amène à avoir une façon de penser bien différente. Elle ne se laisse pas berner aussi facilement et va se poser des questions sur plein de choses et réagir à certains événements, quitte à attirer l’attention de certaines personnes.

    Tout n’est pas rose dans ce monde destiné aux femmes et les événements et les surprises qui attendent nos personnages sont bien au rendez-vous malgré quelques faiblesses au niveau de la plume (c’est ce que j’ai ressenti en tout cas), mais je pense que cela sera corrigé pour le deuxième tome.

    A girl utopia est vraiment une surprise et un bon premier tome dystopique. Je lirai la suite avec grand plaisir.


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  • Let me die

    Auteur : Pierrette Lavallée

    Éditions Sharon Kena

    Format Kindle

    178 pages

    Sortie le 14 novembre 2017

     

    Merci aux éditions Sharon Kena pour ce SP.

     

    Résumé :

    Son prénom : Liam

    Son job : Exécuteur

    Son rôle : Remplir les contrats proposés par des commanditaires en échange d’un paquet de fric.

    Le dernier en date : Faire souffrir à la fois dans son cœur, dans son âme mais surtout dans sa chair la douce et jolie Tasha. La détruire, non pas pour qu’elle se reconstruise, mais pour la mener à sa perte....

     

    Avis d'Angie :

    Je sors à peine de ma lecture et je dois dire que je suis toute retournée pour ce rebondissement à la fin du livre.

    Pierrette Lavallée nous emmène dans une sombre romance avec Tasha et Liam, son exécuteur. Il semble dépourvu d’émotions, quant à elle, n’est pas en reste non plus.

    Un événement du passé la ronge et on a l’impression à chaque minutes que l’héroïne n’attend qu’une chose : mourir.

    Alors, quand Liam l’a kidnappe pour en faire son objet sexuel, on sent la souffrance la cueillir peu à peu, mais elle résiste encore. Puis, remarquant que son comportement est étrange pour quelqu’un qui est censé avoir peur, souffrir le martyr jusqu’à demander grace, Liam va s’attacher à elle.

    Il va finir par briser ses propres règles, mettant évidemment les soupçons de sa bonne maitrise pour mener le contrat à bien.

    Cependant, un autre homme va intervenir : Léo.

    L’ex-petit ami de Tasha qui se montre sous son vrai visage : il veut être de la partie.

    J’ai été scotchée par tous les rebondissements inattendus de cette histoire. Je ne peux vous les dévoiler malheureusement, mais il faut lire cette dark romance pour comprendre comment la situation va très vite évoluée entre les protagonistes.

    D’ailleurs, si je dois citer le petit bémol de cette histoire, c’est bien celui-ci : ça va trop vite !!!!

    On en veut plus, on veut comprendre par nous-même, mais tout nous ait dévoilé de but en blanc si rapidement qu’on en a le souffle coupé.

    Certes, on ne s’attend pas à ce dénouement et je reste stupéfaite de voir comment tout a été bouleversé au niveau des sentiments de Tasha surtout.

    Pour résumé, une belle dark romance avec assez de noirceur pour aiguiller l’histoire, qui se déroule un peu trop rapidement, mais vraiment rebondissante dans tous les sens du terme.

     

    Avis de Nikki :

    Liam est un exécuteur. Ses contrats : meurtres, viols… Sa dernière mission en date : Faire souffrir Natasha « Tasha » et pour cela, il a le droit d’aller jusqu’où il veut.
    Let me die est ma première Dark Romance. Du moins, en livre. Quand j’ai vu que Pierrette le sortait, j’ai décidé de me laisser tenter. D’une part, je connaissais la plume de Pierrette et je savais que je n’aurais pas de problème avec ça. D’autre part, le livre étant court, je trouvais ça parfait pour débuter dans ce genre.
    Je ressors de ma lecture mitigée.
    Aucun doute, on est dans une dark romance. Il y a des scènes crues, de violences, de viols… et le langage qui va avec. Liam est un exécuteur, il est dur, froid et le personnage a une manière de parler qui colle parfaitement. Sauf que c’est peut-être un peu trop. J’aurais aimé avoir moins de référence à sa bite, au fait qu’il bande… Je pense qu’on peut être cruel autrement.
    L’histoire en elle-même est plutôt bonne. L’action et le suspense sont au rendez-vous. L’évolution des personnages pour mener à la scène finale est maîtrisée. Même si, le fait que le livre soit court, donne parfois l’impression que cela va vite. Quelque chose que j’ai apprécié, c’est le fait que même si Liam change, il garde une manière d’être cash et ne devient pas un bisounours.
    Je pense que cette histoire plaira aux adeptes de Dark Romance. Pour les novices, ce livre peut être un bon point de départ pour tester.
    Pour ma part, Let me die a confirmé mon idée de départ. Je ne suis pas fan de ce genre de romance.

     


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  • Interview de Ena Fitzbel

    Bonjour Ena et bienvenue chez Lecture-mania.

     

    • Pour commencer, peux-tu te présenter en quelques mots ?

       

    Ingénieure dans la vraie vie (celle où notre quotidien n’est pas toujours très rose), j’écris des romans sentimentaux et érotiques à mes heures perdues.

    Je crois qu’on peut les classer dans la catégorie « New Romance » pour ceux qui sont contemporains comme SEXY DISASTER (éditions Addictives), OFFSHORE (EDEN de City éditions) et VICIOUS LOVE (EF éditions).

    J’ai également publié chez City éditions ROAD TRIP, une comédie sentimentale.

    Chez Rebelle éditions sont parus une romance historique (SOUS LE CIEL DE NOUT), une romance fantasy (ARTALA) et un roman fantastique Young Adult (UN MANOIR POUR REFUGE 1).

    • Depuis quand écris-tu ?

       

    J’écris depuis quatre ans maintenant.

    • Combien de temps consacres-tu à l’écriture ?

       

    Je m’astreins à un quota de 20 000 caractères (espaces non comprises) par semaine.

    • Quand tu as une idée, prends-tu des notes ?

       

    Non, je ne prends aucune note. Tout est dans la tête. Laquelle tête commence à être un peu encombrée, d’ailleurs !

    • Sur quel support écris-tu ? (Ordinateur, cahier…) 

       

    L’ordinateur a ma préférence, car il rend l’écriture plus flexible, mieux adaptée aux nombreuses modifications que je fais subir à mes textes.

    • D’où te vient l’inspiration ? 

       

    Je puise mon inspiration dans mon quotidien et dans mes rêves éveillés.

    Interview de Ena Fitzbel

     

    • Combien de temps mets-tu à écrire un livre ?

       

    Il me faut six mois en moyenne pour écrire un roman. « Sous le ciel de Nout » a été une exception, puisque j’ai mis huit mois pour l’achever. Il y avait beaucoup de recherches historiques à faire sur l’époque où se déroule l’histoire (année 1882, en Égypte).

    • Fais-tu beaucoup de recherches pour tes romans ?

       

    Chaque roman m’a apporté son lot de recherches. Plus d’une fois, j’ai été obligée de sortir de ma zone de confort. Ainsi, dans Un manoir pour refuge, je me suis donné beaucoup de mal pour décrire les souterrains labyrinthiques du manoir. Il m’a donc fallu apporter beaucoup de soins aux descriptions.

    Dans ROAD TRIP, ce sont les dialogues que j’ai dû soigner tout particulièrement. Car je souhaitais me rapprocher le plus possible d’un format « pièce de théâtre ».

    Pour ARTALA, ce sont les scènes de combat qui m’ont donné du fil à retordre. Je ne vous raconte pas le nombre de films de Kung Fu qu’il m’a fallu regarder !

    Enfin, dans SEXY DISASTER, les paysages devaient se rapprocher le plus possible de la réalité. Là encore, ce sont des documentaires sur le Costa Rica que j’ai dû regarder !

    • Écoutes-tu de la musique en écrivant ? 

       

    Jamais ! Je ne peux écrire que dans le silence le plus absolu, avec des boules Quiès dans les oreilles. J’ai un rapport conflictuel avec la musique. Elle tourne en boucle dans ma tête et me harcèle, de sorte que j’en écoute très peu.

    • Quand tu commences à écrire ton histoire, la connais-tu déjà en entier ou bien tu improvises au fur et à mesure ? 

       

    Je connais la trame, je sais où je dois aller, mais je me laisse toujours beaucoup de latitude pour la mener à terme. L’inspiration me vient en avançant.

    • Ton nouveau roman, Vicious Deal vient de sortir chez EF Éditions. Pourquoi avoir créé ta ME ? Est-ce quelque chose que tu voulais faire depuis longtemps ?

       

    Vicious Deal est l’un de mes romans préférés. C’est une romance à suspens, assortie d’une enquête policière. J’ai donc eu beaucoup de mal à m’en séparer. Je dois avouer que je suis très contente de pouvoir continuer à le porter. J’ai choisi son titre, j’ai réalisé sa couverture. Je voulais qu’il puisse exister tel que je l’avais pensé, sans retouches ni faux-pas. Je voulais aussi qu’il paraisse aux alentours de Noël, car l’action se déroule pendant les fêtes de fin d’année à Londres.

    À l’avenir, je n’exclus pas de publier d’autres titres dans ma ME. Si je veux continuer à être créative, il faut que je chasse toutes mes peurs liées au devenir de mes textes, que je cesse de me tracasser sur sa date de sortie, de me poser des questions du type : « est-ce que mon éditeur va me permettre d’écrire cette scène ? Va-t-il modifier mon scénario ? » La liberté a parfois du bon, même s’il faut en payer le prix !

    Interview de Ena Fitzbel

     

    • On peut te retrouver dans plusieurs genres différents (romance érotique, comédie romantique, romance historique, romance fantastique). En as-tu un que tu préfères particulièrement ?

    Oh que oui ! J’adore écrire des romances historiques et du fantastique. Mais le problème, c’est que c’est exténuant ! Cela demande beaucoup de travail. Je suis donc obligée d’alterner avec des romances érotiques, moins gourmandes en énergie.

    • Quel est le personnage de tes romans préféré et pourquoi ?

       

    J’en ai plusieurs. Que ce soit William (dans SEXY DISASTER), Éric (dans OFFSHORE), Gauthier (dans ROAD TRIP) ou Darren (dans VICIOUS DEAL), ils sont tous « brut de coffrage » ou mal dégrossis, si vous préférez. C’est par amour pour l’héroïne du roman qu’ils changeront. Et c’est cette transformation que j’aime décrire, étape par étape (avec tous les doutes que le processus de « tomber amoureux » comporte).

    • Quel est le personnage que tu as eu le plus de mal à écrire et pourquoi ?

       

    En fait, je n’en ai pas. Dès que je commence un roman, je m’accapare leurs personnalités, je vis à travers eux, et je deviens eux. C’est un peu comme si j’étais une actrice et que j’endossais tous les rôles de mon histoire.

    • Quels sont tes autres projets ?

       

    Actuellement, je travaille sur le deuxième spin-off de SEXY DISASTER.

    • Quels sont tes genres de lecture préférés ?

       

    J’adore les romances historiques. J’en lis beaucoup.

    • Quel est le dernier livre que tu as acheté ?

       

    Euh ! Est-ce que j’ai le droit de citer « Qui a volé les carottes de Jojo Lapin » ?

    • Quel est ton ou tes auteur(s) préféré(s) ?

       

    De loin, Julie Anne Long (auteure de romances Régence) est ma préférée.

    Interview de Ena Fitzbel

     

    Ton portrait chinois en 10 questions : 

      

    Si tu étais… 

     

    Un animal ? Un cheval

    Une couleur ?  Le rose

    Un film ? Les tontons flingueurs

    Une sucrerie ? Une fraise Tagada

    Une actrice ? Audrey Hepburn

    Une fleur ? Une rose

    Un de tes personnages ?  Électra (dans Sous le ciel de Nout 1)

    Une saison ? Le printemps

    Une chanson ? Aucune en particulier

    Un livre ? Orgueil et préjugés de Jane Austen

     

     

    Un dernier mot pour tes lecteurs ?

    Je les invite à découvrir mes deux dernières romances OFFSHORE et VICIOUS DEAL (sorties en octobre et novembre). En décembre paraîtra aux éditions Addictives le premier spin-off de SEXY DISASTER. Je vous livre ici son résumé provisoire :

    Tenancière d’une discothèque très en vogue à Montréal, Julia (la sœur de William, le héros de SEXY DISASTER) désire à tout prix un enfant. Un enfant rien qu’à elle ! Au cours du recrutement d’un danseur, elle jette son dévolu sur Sandro, qui manque cruellement d’argent. En effet, depuis plusieurs mois déjà, il essaie sans succès de vivre de son métier de consultant en communication. Lorsque Julia lui demande d’endosser le rôle d’étalon reproducteur contre rémunération, il n’a pas d’autre choix que d’accepter.

    Mais comme il a sa petite fierté et que la demoiselle lui plaît bien, les choses se dérouleront à sa façon. Pas d’éprouvettes ni de magazines olé olé ! Ils feront un bébé à l’ancienne. Si Julia consent à coucher avec lui, c’est uniquement parce qu’elle veut tomber enceinte, n’est-ce pas ? Et certainement pas parce que son cœur bat plus vite et plus fort en sa présence ! Celui de Sandro cache un lourd secret. Il a peut-être tort de l’exposer ainsi.

     

    Sa page Facebook : Ici

    Son blog : 

    Pour acheter ses romans : C'est ici

    Interview de Ena Fitzbel

     

     

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